Nourrir le principe vital
Quand j’avais vingt ans, j’aimais les pratiques taoïstes et j’allais au phalanstère, guan, les étudier. D’abord on m’enseigna le procédé du mélange des souffles, des Trois, des Cinq, des Sept et des Neuf, et de l’union des garçons et des filles (ordonné par) l’Écrit‑Jaune. (On joint) les quatre yeux, les quatre narines, les deux bouches, les deux langues et les quatre mains de façon à opposer exactement le yin et le yang. Ils prennent exemple sur le nombre des vingt‑quatre souffles (de l’année). Ceux qui s’adonnent à
Les arts de la chambre rendent immortels
Il mâche et aspire la fleur précieuse, purifie son esprit dans le ciel infini, médite au-dehors sur les cinq lumières, préserve en dedans ses neuf essences ; il renforce le cadenas de jade des portes de la vie